Messiaen – Saint François d’Assise (title role)
“Comment chanter Saint François après José Van Dam ? Comme nous le confiait Paul Gay, le chanteur belge a tellement marqué le rôle qu’il est intimidant de lui succéder. La similitude de timbre entre les deux barytons-basses est d’ailleurs souvent frappante. Gay affiche cependant une voix plus « corsée » et une sobriété dans l’expression, qui entourent son François d’une aura de sagesse. La mise en scène n’est peut-être pas étrangère à cette impression (nous y reviendrons). La ligne est magnifique, le legato parfait, les aigus solides, y compris les derniers, sur le mot « vérité », émis piano, avec grande assurance. Si l’on ajoute une très bonne prononciation, on aura compris que Paul Gay est le digne successeur de José van Dam.”
FP. E. LEPHAY, forumopera.com
“Le baryton basse français Paul Gay dans l’énorme rôle titre porte la soirée sur ses épaules avec une vocalité et une discipline souveraine… il devrait a présent faire partie de l’élite des barytons-basses.”
Frankfurter Rundschau
« François est excellement distribué par le baryton plein de Paul Gay. Il remplit vocalement parfaitement le role du saint se rapprochant de Dieu, en nous faisant meme parfois penser à José Van Dam, qui incarna si souvent depuis la création le rôle du saint. »
Die Welt
« Paul Gay dessine grâce à son timbre sonore et souple, un François comme un fleuve de calme intérieur, il possède un medium plein et des graves puissants. »
O. SCHNEIDER, drehpunktkultur.at
« On a longtemps pensé que José Van Dam serait irremplacable dans le rôle titre gigantesque. Paul Gay nous prouve le contraire, en traversant la soirée entière avec une présence permanente d’une grande intensité et d’un calme imperturbable, peut etre plus doux que son prédécesseur mais pas moins engagé : un saint sans pompe ni encens. »
G. KOCH, Frankfurter Allgemeine Zeitung
Gounod – Faust – Méphistophélès
“Paul Gay est un Mephisto d’une rare élégance, tant sur le plan vocal que scénique…”
(Richard Martet) – Opéra Magazine
« Et le démon apparaît, immense, drapé de noir, dans un nuage de fumée irréelle. Il ne quittera presque plus la scène, et c’est vraiment lui, grâce à la présence magnétique du basse-baryton Paul Gay, qui porte l’opéra du début à la fin. »
N. TUCAT, AFP
Grande operazione culturale è dunque questa edizione del Faust valorizzata da un Mefistofele totalmente immerso nella sua parte sia drammaturgicamente che vocalmente (Paul Gay), da un Faust ugualmente convincente nella parte di uno studioso solitario che vuole conoscere la vita ma non ne è alla fine all’altezza del male che essa compie e impone di compiere (Wookyung Kim) e da una sciagurata Margherita spazzata via dalla malvagità (Carmela Remigio).
stamptoscana.com
“Méphistophélès è un diavolo signorile, salottiero, spiritoso e garbato; Paul Gay, bass-bariton parigino quarantottenne, con la sua figura alta e slanciata, i modi eleganti, l’espressione distaccata, lievemente divertita, è perfetto scenicamente per impersonare questo diavolo un po’ dandy un po’ flaneur, sempre composto e padrone di sé, tutto sommato simpatico, la cui perfidia si identifica con l’indifferenza, la nonchalance con la quale scivola senza scomporsi sugli abissi del dolore.”
gbopera.it
Debussy – Pelléas et Mélisande – Golaud
“…Il s’oppose magnifiquement au sombre Golaud incarné par le puissant Paul Gay. Le baryton-basse est très imposant par sa stature et son aura : quoique très noir, le personnage resplendit. Très applaudi par la salle, c’est l’une des belles surprises de la soirée.”
artistikrezo.com
« Paul Gay domine la distribution, par sa prestance, sa présence scénique. Il rend toute la complexité du personnage, sa fascination pour Mélisande, mais aussi sa jalousie brutale, et ce désir morbide de savoir s’il s’est passé quelque chose entre elle et Pelléas. Une belle ligne de chant, alliée à une parfaite diction, en font le personnage central de l’opéra. »
Altamusica
« Finalement, le vrai gagnant de ce spectacle, celui qui enchante, celui qui convainc, celui qui n’appelle aucune réserve, dont il faut saluer la voix solide, corsée, d’une égale beauté sur toute l’étendue du registre, la netteté du phrasé et la justesse d’accent, je veux dire le baryton-basse, Paul Gay. »
G. CORNELOUP, Le Figaro
« Il faut saluer la très belle prise de rôle de Paul Gay, avec le tranchant du timbre, et un personnage d’un relief saisissant… »
F. LEHEL, Opéra International
Lalo – Le Roi d’Ys – title role
« Le Roi d’Ys par la basse française Paul Gay, entendu à Paris dans Martinu et Janáček, s’affirme comme une vraie richesse. »
C. ALEXANDER, Webthea
« Le Roi de Paul Gay est majestueux et bon. Bon roi, bon père, autoritaire et douloureux à la fois. La voix belle et le comédien habile à faire oublier sa jeunesse. »
Resmusica
« le Français Paul Gay une belle basse et un acteur à la prestance convaincante. »
Le Figaro
« Dans le rôle titre, Paul Gay s’affirme avec une réelle autorité, par la sûreté de l’émission, la qualité du timbre et la prestance scénique. »
Altamusica
« Le plateau toulousain était au dessus de tout éloge… le Roi de Paul Gay qui ressuscite la grande basse à la française, aux aigus conquérants mais en timbre toujours sombre. »
concertclassic.com